1 septembre 2012
Anaelle Berthelot
" La surface comme un terrain de jeu où les couleurs et les matières s’apprivoisent. Pourvu que je racle, gratte, déchire, enlève, couvre, recouvre, superpose, juxtapose, pose, jette, projette et dépose.
Un hymne au geste pour au final offrir des paysages. On y voit des contrées lointaines, des sentiers, des chemins ou des autoroutes, des mers d’huile, des rivières asséchées ou des eaux déchainées. On y voit ce qu’on veut et pas toujours la même chose. Et parfois, on n’y voit rien ; mais pourvu que ça vous transporte ailleurs."
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